A raison de 8 à 10 livres par an, Le nouvel Attila cultive les genres inclassables et les mauvaises herbes littéraires, en proposant jeunes auteurs français et francophones, traductions ou rééditions de trésors oubliés.
En faisant se rencontrer un auteur (ou son traducteur), un photographe (ou un dessinateur) et un graphiste, nous tentons d'offrir au lecteur une expérience singulière à chaque livre.