Des passants se croisent dans un square, se jaugent furtivement. Quelques jours plus tard, forcés à la réclusion, ils se trouvent confrontés à eux-mêmes, à leur vie intérieure et à la part d’inconnu, de vide ou de chaos qu’elle recèle. Un soir de pleine lune qui transforme le ciel au-dessus de la ville confinée en un miroir étrange, chacun sent sa vie vaciller. C’est en remarquable observatrice de ses contemporains que Sylvie Germain nous convie à cette éphémère constellation de vivants, où le tragique se mêle à la tendresse et à la dérision, l’esseulement à la force de l’amitié.

Une sorte de microanthropologie au temps du confinement, généreuse et touchante. Frédérique Roussel, Libération.

Sylvie Germain observe avec un tel talent de portraitiste et de nouvelliste que son livre semble merveilleusement peuplé. Valérie Marin La Meslée, Le Point.

Une auscultation des cadences intimes et des idées minuscules qui trottent en nous. Un bel éloge du temps, et du nondit. Virginie Bloch-Lainé, Elle.

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