Comment une simple balle de tennis, plutôt molle, peut-elle avoir un effet aussi dévastateur sur la tranquille existence d’un parisien misophone ? Pourquoi son voisin tonitruant décide-t-il de se comporter en psychopathe et de lui pourrir la vie ? Tout cela a-t-il quelque chose à voir avec cet individu malade qui tente de forer les tympans des usagers du métro avec une perceuse ?
S’il commence comme un film d’action, "Fraternité" se poursuit en une valse joyeuse, pleine de rebondissements, de courses-poursuites et de rencontres étonnantes, de portes dérobées et de souterrains mystérieux. On y croise des publicitaires à l’imagination sans limite et un chat au nez bouché, un lecteur qui a du flair et des fourmis-fantômes, un tricycle à wagonnets, des dizaines de films d’épouvante et deux amis fêlés. On y apprend que le hasard peut même avoir son musée. Et surtout, surtout, qu’il est impossible de haïr quelqu’un une fois qu’on le connaît. À de rares exceptions près.

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