Le souvenir d’un séjour à New York – « ville poreuse aux souvenirs éternellement refoulés » –, dans une chambre d’hôtel de Broadway Avenue

donnant sur le Moon Palace, est le point de départ d’Une forteresse de roseaux.

Dans ce récit, à l’aune des événements de la Seconde Guerre mondiale et de la Shoah, Corinna Gepner évoque une histoire familiale marquée

par l’émigration en France dans l’entre-deux-guerres, et la vie cachée sous l’occupation. Elle le fait de manière subtile, presque discrètement, comme un fil rouge permettant d’interroger chez chacun·e de nous les éventuelles conséquences des catastrophes de l’Histoire et ce qui en résulte dans nos vies. Sommes-nous voué·es au devoir de mémoire ? Cette « mémoire » empêche-t-elle le retour de la catastrophe ? Y a-t-il une autre langue possible que celle de l’oubli et du souvenir ?

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