À l’été 1545, "La Déploration sur le Christ mort" de Bronzino a quitté le calme d’une chapelle florentine pour la compagnie d’hommes qui ne pensent « qu’à la guerre sans avoir un poil qui pense à la paix » (Machiavel). Ce tableau, aussi audacieux que troublant, est l’objet d’un cadeau diplomatique grandiose entre puissants de l’Europe du XVIe siècle. Ce présent est-il un sacrifice ou un soulagement ? Cet épisode de la vie d’un chef-d’œuvre du maniérisme éclaire la fonction de l’art au service du pouvoir.

PARTENAIRES OFFICIELS

PARTENAIRES MEDIAS

SOUTIENS INSTITUTIONNELS

PARTENAIRE QUÉBÉCOIS