Dans cette histoire, il est d'abord question de montagne, et plus précisément du massif du Mont-Blanc, aussi envoûtant que majestueux. Il y a ensuite Marguerite, à la fois sœur non-née et locomotive du Tramway du ­Mont-Blanc. De la musique – beaucoup –, des tours de manège – seulement quelques-uns –, un oncle, Ajzik, qui dit des choses comme « Faut-il se priver de sauter d'un train en marche quand il nous embarque vers une mauvaise destination ? » Et un garçon amoureux d'une montagne, qui va devoir se construire entre deuil ­impossible et passion obsédante. Une trame complexe et sensible, que Michaël Sibony dénoue avec subtilité.





Michaël Sibony

trentenaire, déambule dans les rues de Paris quand il ne sillonne pas les sentiers de montagne. Marguerite et le mont Blanc est son ­premier roman.


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